Ricardo, pouvez-vous nous raconter votre parcours ?
Après mes humanités, j’ai décidé de suivre la voie académique et je me suis inscrit en Économie générale. A l’époque, je ne me rendais pas compte de toutes les voies possibles pour se former et l’université me paraissait le parcours « logique ».
Pendant mes études, j’ai travaillé dans une PME et j’ai eu la possibilité d’évoluer au sein de cette société. Le côté concret du monde du travail m’a plu et j’ai voulu persévérer dans cette voie. J’ai donc quitté l’université après 2 ans et demi d’études, pour investir dans ma carrière et me spécialiser.
Comment avez-vous choisi le monde des assurances ?
J’ai rencontré un courtier qui parlait de son métier avec énormément d’enthousiasme, et ça m’a donné envie.
Pourquoi avoir choisi l’efp ?
Le cursus en haute école ne me correspondait pas vraiment : trop théorique, trop long. Ce sont des amis qui m’ont parlé de l’efp et c’est grâce à eux que j’ai découvert la formation de candidat courtier en assurances. Une formation en deux ans, des cours associés à de la pratique, et la possibilité de gagner ma vie en même temps : c’était idéal pour moi.
Comment s’est passé votre formation ?
Je pensais avoir quelques bases, mais quand on démarre dans les assurances, on se rend compte qu’on n’y connait rien du tout (rires). Mais grâce aux cours et au stage, les connaissances arrivent assez rapidement. J’ai démarré mon stage dès le mois de septembre chez Van Ingelgem & fils. Je me suis présenté directement dans les bureaux avec mon CV et mon courage, et ça a marché ! Il faut dire que ce n’est pas le travail qui manque dans les assurances, donc les opportunités sont là, à nous de les saisir !
Quelles sont les qualités nécessaires pour être courtier en assurances ?
C’est un métier dans lequel il y a peu de routine. On ne sait pas de quoi la journée sera faite, quelles urgences vont arriver... Il faut donc être très flexible.
Et puis, il faut être assez débrouillard et être capable d’aller chercher les informations par soi-même. Il y a un petit côté « détective » que je trouve chouette. Un autre aspect central du métier, c’est le contact avec les personnes. On est tout le temps en contact avec des clients, donc il faut être à l’écoute et être réactif.
Est-ce que vous recommanderiez l’efp à quelqu’un qui souhaite se former comme courtier en assurances ?
Oui, je recommande l’efp à toute personne qui veut travailler sur le côté, qui veut apprendre sur le terrain et avancer rapidement dans sa formation. C’est un parcours assez exigeant d’être au travail la journée et en cours le soir 3x par semaine, mais c’est une manière d’apprendre efficace ! Et cette exigence, c’est aussi un gage de sérieux auprès des employeurs.
Le centre de formation est très chouette. Les formateurs sont des professionnels du métier et ça se ressent dans leur manière de donner cours. Il y a une forme de proximité entre les apprenants et les formateurs. Les classes ne sont pas très grandes et il y a une chouette ambiance. Les formateurs veulent être là, les élèves veulent être là, et tout le monde est motivé pour avancer ensemble.
Découvrez la formation suivie par Ricardo : https://www.efp.be/formations/chef-d-entreprise/efp-2/candidat-courtier-en-assurances.html